Inlassables partenaires de nos déplacements, ils sont souvent associés à une cause ou un effet d’où une place privilégiée dans les expressions populaires !! On en parle pour punir « ça lui fera les pieds » ; Lorsque, bien malin, on se sort d’une situation difficile « savoir retomber sur ses pieds » ; Ou inversement, si l’on commet une maladresse « se prendre les pieds dans le tapis » ; Et lorsque l’on profite du soleil, de la mer, allongé sur le sable et que le voisin a la bonne idée de mettre sa radio un peu forte, on pensera «quel casse pieds ». D’un moment agréable, l’on dira « c’est le pied ».
C’est sur cette note que je termine ma lettre sachant que je suis une adepte des doux moments et que je prends soin de mes « petons » tout comme la Valentine de Maurice Chevalier.
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